Preview Bears - PackersNouvelle page d'une rivalité historique

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le 18/01/2011 à 21:17 par Thomas Savoja
Mise à jour du 19/01/2011 à 09:33

Le Soldier Field Stadium de Chicago sera donc le théatre ce dimanche d'une très attendue finale de conférence NFC entre les Bears et les Packers, affiche que peu d'observateurs auraient pu prédir en début de saison même si les Packers faisaient figure d'outsider, statut qu'ils durent rapidement troquer au regard des blessures à répétition de joueurs cadres de leur roster.

Que l'on aime ou non les deux franchises, cette rencontre fleure bon la tradition et cette rivalité historique de près de 89 ans est a mon sens la plus intense de la ligue. Le match s'annonce donc apre, viril et fermé car Chicago aura a faire valoir sa défense hermétique et les Packers ne seront pas avares en la matière. Troisième affrontement de la saison entre les deux équipes, les Bears pourraient avoir quelques regrets d'avoir concédé une défaite à domicile lors de la dernière journée permettant ainsi au Pack d'arracher un billet en Wild Card et tenter d'être la sixiéme équipe de l'histoire à décrocher le graal suprême en passant par cet exercice.

La pire pelouse de la NFL !

J’ai eu la chance de fouler l’an dernier à la même époque la pelouse du Soldier Field Stadium et ce qui m’avait particulièrement étonné était la piètre qualité du terrain. La pelouse était très loin de ressembler à un billard, elle était même assez hétérogène et surtout très mal tondue !

C’est d'ailleurs une réelle préoccupation pour le WR des Packers Greg Jennings qui n’hésite pas à affirmer dans les medias Us en début de semaine que l’antre des Bears est le « pire terrain de toute la NFL » notant les difficultés d’adaptation des joueurs des Seahawks le week end dernier, notamment en termes d’appuis. Il faudra donc porter une attention particulière sur le choix des chaussures côté Packers. C’est vrai que la neige qui tombe régulièrement sur l’Illinois depuis le mois de Novembre n’aide pas les jardiniers de Soldier Field et les Bears eux même se plaignent de ces conditions dont ils ne semblent pas tirer avantage si l’on en croit leur record de 5-3 a domicile.

Rodgers est-il injouable ?

Les Packers ont prouvé à Atlanta qu'ils avaient une attaque explosive. Leur record de 10-6 en saison régulière est à pondérer par le faible écart de points enregistré lors de leurs 6 défaites (toutes se jouérent à moins d'un TD). Ils savent en outre comment battre Chicago et cela passe par une nouvelle performence de choix de leur QBQuarterback
c'est le stratège de l'équipe. Il décide des tactiques avec ses coachs. Il est chargé de transmettre la balle à ses coureurs et de distiller les passes à ses receveurs.
Aaron Rodgers qui semble innarétable s'il réitére la perf de dimanche. Il devra faire face à l'une des meilleurs défense au sol de la ligue ce qiu renforce d'autant la prépondérence de son rôle dans ce match.

Autre aspect crucial de la rencontre, la bataille des pertes de balles, les deux équipes se faisant une spécialité que de provoquer fumblesFumble
quand le porteur du ballon laisse échapper celui-ci par maladresse ou suite à un choc. Le ballon est alors à terre mais vivant et c'est la 1ère équipe qui le ramasse qui en prend la possession. Avec les interceptions, le fumble est la seconde façon de rendre le ballon à l'adversaire. Ensemble, ils constituent des Turnovers (pertes de balle). C'est souvent cette stat. qui décide de l'issue de la rencontre.
et interceptionsInterception
passe du QB rattrapée par un défenseur (un adversaire).
. Si les Packers continuent sur leur lancée (ils tournent à 5 Turnovers par match), les Bears s'inclineront à coup sur même si le trio Brian Urlacher, Charles Tilman et Julius Peppers a des arguments à faire valoir.

Cutler fébrile sous la pression

Dernier point clé, il leur faudra pour Green Bay maitriser la ligne de scrimmage et obliger Jay Cutler à passer en anihilant le jeu au sol des Bears. On sait qu'un Cutler sous pression peut parfois se montrer très fébrile et c'est tout ce que la ligne de défense Clay Matthews, A.J Hawk, B.J Raji et Cullen Jenkins tendera a prouver diamnche.

Et les Bears dans tout cela ?

Pas mal d'observateurs dont je fait partie doutent encore de la consitance du QB Jay Cutler. L'ancienne vedette de l'université de Vanderbild et natif de Santa Claus (dans l'indiana cela ne s'invente pas !) découvre cette saison l'ambiance couperet des playoffs et il devra montrer son meilleur visage pour empêcher Rodgers d'avoir du temps de jeu et ainsi anihiler la puissance offensive de Green Bay. Sa ligne offensive aura également un rôle prépondérant pour lui laisser le temps de trouver ses receveurs dans des conditions acceptables.

Chicago mise sur ses équîpes spéciales

Les équipes spéciales de Chicago seront également tès attendues. Hester est évidemment un "playmaker" qui peut faire basculer a lui seule une rencontre sur un retour de KickoffKickoff
coup de pied d'engagement en début de mi-temps. Effectué balle à terre depuis la ligne des 30 yards de l'équipe qui engage.
ou de PuntPunt
action utilisée en 4ème tentative et x yards à parcourir. Plutôt que de tenter les x yards, l'attaque choisit de botter le plus loin possible pour faire reculer son adversaire.
et le Kicker Robbie Gould devra se montrer plus consistant pour épauler les siens dans les moments clés.

En synthése, nous saurons dimanche soir si Jay Cutler est le Franchise QB que les fans de Chicago attendent où si Aaron Rodgers peut déjà déjà faire oublier le rêgne de Brett Favre dans la franchise du Wisconsin. Pour ma part, j'ai quelques interrogations sur la capicité de Rodgers à maintenir un niveau de jeu si élevé mais je crois aussi que la défense de Green Bay restera dominante. Je prévois donc une petite victoire de Green Bay qui retrouverait ainsi le Super Bowl après 13 annnées d'absence.

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  1 2 3 4 OT Final
Chicago 0 0 0 14 0 14
Green Bay 7 7 0 7 0 21
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 Nous ne pouvons pas courir. Nous ne pouvons pas passer. Nous ne pouvons pas stopper la course. Nous ne pouvons pas stopper la passe. Nous ne pouvons pas botter. En dehors de ça, nous ne sommes juste pas une très bonne équipe de football en ce moment.  – Bruce Coslett, ancien joueur des Jets de New York

En VO :  We can't run. We can't pass. We can't stop the run. We can't stop the pass. We can't kick. Other than that, we're just not a very good football team right now. 

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