"From fan to fat ?" : la défaite mène à l'obésité

Dans la série des articles scientifiques essentiels à notre compréhension du football, je tenais à vous faire part d’une étude sortie par le journal Psychological Science et menée par le Professeur Pierre Chandon (Professeur à l'Insead spécialisé en psychologie alimentaire) qui porte sur la NFL et le championnat de Ligue 1 en soccer.
D’après son étude, Chandon affirme « qu'un jour après la défaite de leur équipe, les fans consomment 16% de graisses saturés en plus et 10% de calories supplémentaires. Le lendemain d’une victoire de leur équipe c’est l’inverse : ils mangent plus sainement. Ils absorbent en effet 9% de graisses saturées en moins et 5% de calories en mois. ».
Autrement dit, un fan d’une équipe qui perd compense le lendemain en mangeant du gras. On imagine qu’un fan d’une « bangwagon team » doit rendre fou sa balance, alors que si vous êtes fans des Raiders je vous conseille d’aller le plus vite possible chez votre cardiologue pour programmer une opération du cœur !