Les Packers se rassurentMenés de 17 points par les Jets, ils s'imposent finalement 31 à 24

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Jordy Nelson stratosphérique
Jordy Nelson stratosphérique
le 14/09/2014 à 22:27 par Thomas Savoja

Après une entrée en matière très timide face aux Seahawks la semaine dernière, les Packers se devaient de réagir à domicile face à des Jets vainqueurs de leur match inaugural contre les Raiders et qui pouvaient se targer d'une grosse présence défensive.

Le match débute on ne peut plus mal pour les Packers avec dès la première action un FumbleFumble
quand le porteur du ballon laisse échapper celui-ci par maladresse ou suite à un choc. Le ballon est alors à terre mais vivant et c'est la 1ère équipe qui le ramasse qui en prend la possession. Avec les interceptions, le fumble est la seconde façon de rendre le ballon à l'adversaire. Ensemble, ils constituent des Turnovers (pertes de balle). C'est souvent cette stat. qui décide de l'issue de la rencontre.
dans la transmission du cuir entre Rodgers et son Centre Rookie. La balle est récupérée par les Jets et Geno Smith en profite pour signer un TD à la course sur une 3ème tentative (7-0 Jets). Les Packers doivent punter sous la pression défensive des New Yorkais.

La mobilité du QBQuarterback
c'est le stratège de l'équipe. Il décide des tactiques avec ses coachs. Il est chargé de transmettre la balle à ses coureurs et de distiller les passes à ses receveurs.
des Jets pose de gros soucis à la Défense du Pack qui concède du terrain sur une option bien sentie. Mais c'est sur une passe de 29 yards que geno Smith trouve Eric Decker pour un seocnd TD de rang (14-0 Jets).

Les Packers passent alors un premier Field Goal de 31 yards signé Mason Crosby pour revenir à 3-14. L'attaque des Jets est joueuse et marque un nouveau TD à l'entame du second quart-temps par l'intermédiaire du RB Chris Ivory tout en puissance (21-3 Jets).

C'est alors que la machine Packers allait petit à petit se mettre en route en commencant par deux coups de pieds de Mason Crosby de 62 yards puis 17 yards (21-9 Jets). Puis en toute fin de second quart-temps, c'est Randall Cobb qui captait une passe de TD de 6 yards parfaitement distillée par Aaron Rodgers (21-16 Jets). Nous sommes dans le 3ème quart-temps lorsque Cobb réalise une  nouvelle réception décisive de 1 yards pour permettre aux Packers de passer devant.  Sur la transformation à deux points qui suivra, coup dur pôur les Jets lorsque le DE Muhammad Wilkerson est expulsé après un échange de coups entre les deux lignes (24-21 Packers).

Nick Folk passe alors un FGField Goal (FG)
coup de pied à 3 points effectué le plus souvent en 4ème tentative quand l'attaque a été bloquée. Il est joué depuis l'endroit où la dernière action c'est achevée. En cas de réussite c'est 3 points et engagement. En cas d'échec, la possession change de camp mais il y a deux possibilités : avant le snapSnap
signal de départ de l'action, quand le centre transmet la balle au QB.
, la balle était à l'intérieur des 20 yards, on replacera alors la balle sur la ligne des 20 yards ou elle était placée au-delà des 20 yards, on la replacera au même endroit.
de 52 yards pour égaliser pour les visiteurs. C'est alors au tour de Jordy Nelson de s'illustrer. Sur un "double move", il échappe à son défenseur puis capte le ballon et crochette pour filer au TD sur une échappée de 80 yards (31-24 Packers). Mais les Jets ont décidé de vendre chèrement leur peau et ils forcent leur destin sur une 4ème tentative réussie qui les positionne dans les 30 yards de Green Bay. Mais une seconde 4ème tentative et 8 yards leur sera fatale et ils rendent la balle aux Packers avec 3'31. Les hommes de McCarthy n'ont plus qu'à à jouer qui n'ont plus qu'à gérer le chrono. Voici une victoire chèrement acquise pour les Packers (1-1) qui ont su relever la tête face à des Jets (1-1) très consistants.

La stat du match ce sont évidemmment les 209 yards de réception signés Jordy Nelson qui bat là son record en carrière.

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  1 2 3 4 OT Final
Green Bay 3 13 15 0 0 31
New York 14 7 3 0 0 24
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 Un bon lineman, c'est comme courir dans un mur de brique qui aurait des bras.  – Bill Pickens (DE) après un contact avec son coéquipier Jim Tyrer (ancien OL des Chiefs et Hall of Famer)

En VO :  A good lineman, It's like running into a brick wall that has arms. 

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